Ces vieux clichés montrent ce qu’était Kuala Lumpur en 1884 : un énorme village entouré d’une forêt vierge. Ancienne colonie britannique, la ville a reçu son indépendance en 1957. Elle était autrefois exploitée pour ses mines (étain) et son bois (l’hévéa). Kuala Lumpur, qui signifie « estuaire boueux », doit son nom à un site situé à la confluence de deux rivières,  la Gombak et la Klangun. La capitale de la Malaisie est dotée d’un excellent réseau de communications modernes (rail et grand axe autoroutier) qui relie Singapour à la frontière thaïlandaise. Le Kuala Lumpur City Center (K.L.C.C) n’existe que depuis 1992. Ce nouveau centre-ville a été construit pour que KL soit reconnue comme ville mondiale. Il abrite de grands hôtels internationaux, des tours de bureaux et les plus grands centres commerciaux. Ce nouveau centre d’affaires, connu sous le nom de « Triangle d’or », reflète l’image de la modernité et du luxe, avec des gratte-ciel remarquables tels que les tours jumelles de la société pétrolière Petronas (452 m). La croissance urbaine de Kuala Lumpur a explosé dans les années 50. En 2000, sa population atteignait 1,3 million d’habitants.

Kuala Lumpur en 1884

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IMG_9860Avec une hauteur de 451,9 mètres, les Petronas sont le joyau de Kuala Lumpur. Majestueuses le jour et éblouissantes la nuit, les tours jumelles Petronas ont été conçues par l’architecte argentin Cesar Pelli. Ce dernier, de renommée internationale, est à l’origine d’une cinquantaine de buildings dans le monde entier. Les tours, hautes de 88 étages, sont reliées entre elles par un pont qu’on appelle le « skybridge », le plus haut du monde.

Nous n’avons pas pris l’ascenseur, mais il est sûr que de là-haut la vue doit être vraiment imprenable ! Nous sommes restés dans les jardins qui sont très agréables. Et puis, le spectacle semble quand même être à l’extérieur avec cette vue extraordinaire sur les Petronas. Les familles malaisiennes, indiennes, se mélangent aux touristes. L’ambiance est très plaisante, avec tous ces bouts de chou qui vont et qui viennent autour des jardins d’eau.

A la nuit tombée, les flashs crépitent… et les fontaines se parent des couleurs de l’arc-en-ciel.

Un peu plus loin, des jeunes filles se prennent en photo, en jouant les starlettes. D’ailleurs, deux d’entre elles demandent sans complexe à Théophile s’il veut bien être photographié avec elles. Très intimidé, il accepte… et semble un peu « contracté » sur les photos.

Avant de rentrer, nous faisons un petit tour dans l’énorme galerie climatisée qui se situe entre les tours, et nous sommes très impressionnés par le luxe des lieux.

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