Le thé du Sri Lanka est connu sous la dénomination de « thé de Ceylan », Ceylan étant le nom de l’île jusqu’en 1972. Le Sri Lanka ne produit presque que du thé noir, reconnaissable à sa belle couleur ambrée. DSCN9052Le Sri Lanka est le 4ème producteur mondial de thé. La théiculture a été implantée par les Anglais au 19ème siècle. La plante du thé, le théier, est cultivée sur les hauts plateaux du centre de l’île. D’ailleurs, l’altitude a une influence sur le goût du thé. On distingue trois catégories de thé : le thé des basses terres qu’on appelle « low-grown » (de 0 à 600 mètres d’altitude), le thé de plateau dit « medium-grown » (de 600 à 1 300 mètres) et le thé des hauteurs appelé « high-grown » que l’on fait pousser à plus de 1 300 m. Ces derniers sont réputés pour leur arôme et leur couleur claire en tasse, alors que les deux autres catégories de thés (medium-grown et low-grown) sont plus charpentés et colorés en tasse. DSCN9151

La cueillette du thé au Sri Lanka est tout un art. La plupart des thés sont en effet issus du grade O.P. (Orange Pekoe). Cela signifie que le thé contient des feuilles entières de moyen calibre. Si le thé est de grade B.O.P., cela veut dire que la feuille a été brisée, « B. » étant l’abréviation de « Broken ». Au Sri Lanka, les petits-déjeuners s’accompagnent en général d’un thé B.O.P. (feuilles cassées) fort en goût et d’une couleur très ambrée auquel on ajoute éventuellement du sucre et un nuage de lait. Le thé de l’après-midi sera plutôt de grade O.P. (feuilles entières), plus subtil et plus aromatique. IMG_5318

Pendant notre semaine à Madiha, nous avons eu un coup de cœur pour deux adresses. La première est celle où nous avons dormi, les Caribbean Cabanas. Thierry et moi avons choisi la chambre du haut, et Théophile, celle du bas. Les deux sont faites à l’identique, avec une terrasse et une vue sur la mer, une chambre spacieuse et propre, une belle salle de bain en tadelakt gris, l’eau chaude et la climatisation. DSCN9109 DSCN9120 IMG_5342Les Caribbean Cabanas appartiennent au gérant du Carribean Gate, un restaurant où nous avons pris quelques repas du soir. Ce n’est pas le meilleur restaurant du coin, mais l’ambiance locale est très agréable.

La deuxième adresse concerne un hôtel restaurant où nous avons pris les petits-déjeuners et la plupart de nos repas. Il s’agit du Beach Inns Holiday Resort situé à quelques mètres des Carribean Cabanas. Leur carte propose une variété de plats locaux mais aussi européens. Nous avons adoré, entre autres, le thon fraîchement pêché et grillé juste comme il faut, les pancakes à la noix de coco et au citron-miel, les purs jus de fruit sans sucre ajouté… La terrasse est située directement côté océan, et lorsque le temps devient menaçant, il est possible de prendre ses repas à l’intérieur. DSCN9139 DSCN9152 DSCN9175 DSCN9176 DSCN9178 DSCN9165DSCN9148DSCN9179 DSCN9170

CaptureCe matin, Martine, Christian et moi nous visitons l’une des plantations de café de la région d’Ubud : la Teba Sari Agrotourism (Br. Kelingkung, Lodtunduh, Ubud, Gianyar, Bali). Le jardin est assez petit et dépouillé. On en fait le tour en 10 minutes, le temps de suivre un petit sentier au milieu de quelques caféiers et de photographier une ou deux fèves de cacao. La plantation est célèbre pour le « luwak café », soit disant le meilleur café qui puisse exister. (En tous cas, c’est le plus cher du monde.) Le terme « luwak » désigne en fait l’animal qui le mange, un petit mammifère qui me fait penser à une belette. Son vrai nom en français est « civette ». Je vais faire un rapprochement peut-être un peu trop rapide, mais dans la ville de mon enfance, il y avait un bar tabac qui s’appelait « La Civette », et je me demande aujourd’hui si ce bar s’appelle ainsi en référence à ce petit animal ? Car la civette sauvage vient en douce la nuit dans les cultures de caféiers manger le fruit rouge du caféier, appelé également « cerise ».  

Mais quelle est la véritable histoire du kopi (café) luwak ?

Pour la connaître, il faut faire un bond de plus de trois siècles en arrière, à l’époque où les Néerlandais ont apporté le café en Indonésie. Ces derniers interdisaient aux locaux de cueillir les cerises, et donc les paysans indonésiens ont commencé à ramasser ceux qu’ils trouvaient par terre pour leur propre consommation, c’est-à-dire les grains de café que la civette avait déféqués. C’est ainsi que la différence de goût du café a été remarquée ! Voilà donc l’histoire de ce petit nuisible nocturne considéré comme une « plaie » jusqu’à ce qu’on découvre que la pépite de café retrouvée dans ses excréments vaut de l’or (c’est le cas de le dire). Malheureusement, les civettes sont aujourd’hui capturées et mises en cage… Le spectacle n’est pas terrible, les pauvres animaux font des va-et-vient dans des cages minuscules dont le sol n’est même pas plein, et cela afin de récupérer directement ses défections.

Comment peut-on expliquer que la civette qui mange la cerise directement sur la plante ne rejette que les grains ? Capture

Il semblerait que la civette soit dans l’incapacité de digérer les grains entiers. C’est pour cette raison qu’on les retrouve dans ses excréments. D’après mes lectures sur le web, c’est lorsque les grains passent dans son système digestif qu’une réaction chimique se produit, donnant ainsi ce goût apprécié par les plus grands amateurs de café.

DSCN8617Les grains de café sont ensuite lavés et débarrassés des impuretés, puis sont torréfiés manuellement. Une femme balinaise, assise devant un foyer, s’occupe de la torréfaction du café. Elle mélange inlassablement les grains dans un grand poêlon et semble très gênée par la fumée qui s’y dégage. Je tente de la faire sourire en lui tendant mes lunettes de soleil. Alors qu’elle pense que c’est un jeu et que je vais les lui reprendre, je lui fais comprendre que c’est un cadeau pour qu’elle ne soit plus jamais gênée par la fumée qui lui irrite les yeux. Pendant quelques minutes, elle a souri et s’est un peu détendue. Je ne regrette toujours pas mes Ray Ban. Au contraire.

DSCN8618 DSCN8620Puis arrive la fameuse dégustation gratuite… de la carte entière, cafés et thés confondus. Vous vous asseyez autour d’une grande table et une jeune femme vous apporte une douzaine de tasses à déguster. Seule la dégustation du café luwak est payante. D’ailleurs, tous les trois optons pour une tasse du meilleur café au monde et sincèrement, je le trouve bon et digeste, mais c’est surtout de vivre l’expérience qui m’intéressait. Boire un café luwak est assez exceptionnel, non ?

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Lorsqu’au niveau nourriture, nous avons envie de changer de saveur, rien ne vaut un bon japonais ! C’est ainsi que nous avons découvert un magnifique restaurant, le Hagi, situé dans l’un des coins les plus animés de Hua Hin. Décoré avec goût, le Hagi propose une cuisine japonaise à la fois traditionnelle et moderne, avec une large sélection de sushis, de makis, mais aussi de poissons crus, tel que le thon rouge auquel j’ai succombé avec délices. Au niveau des prix, c’est un petit peu plus cher que les restaurants traditionnels thaïlandais, mais tel est le prix du raffinement ! Et puis, une fois de temps en temps, ça fait du bien de faire plaisir à nos papilles !

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Ce soir, nous décidons d’emmener Martine et Christian – les parents de Thierry – dans un des endroits mythiques de Bangkok : le Mandarin Oriental. Nous tenons à leur faire une surprise et à garder le suspens jusqu’au bout. Nous leur demandons juste de mettre un vêtement un peu plus habillé que de coutume. Je lis bien une petite « inquiétude » dans leur regard, mais nous savons que c’est pour une « bonne cause ». A la sortie du Capital Mansion où nous logeons, nous trouvons un taxi qui accepte de nous prendre à cinq dans sa vieille berline. Nous sommes un peu à l’étroit à l’arrière, et le chauffeur n’arrête pas de me faire répéter le nom de l’hôtel et de rire nerveusement à l’idée de nous conduire dans un endroit de luxe avec sa voiture cabossée. Il nous conseille de prendre le métro aérien pour rentrer, car la circulation en sens inverse est complètement au ralenti. Le taxi arrive devant les grandes portes vitrées de l’Oriental, et tandis qu’un portier – magnifiquement vêtu – m’ouvre la portière, le chauffeur descend pour ouvrir lui aussi la portière à Martine. Christian est silencieux, Martine s’exclame, très impressionnée : « oh là là, mais où vous nous avez emmenés là ! » Je jubile tant ce moment est magique. En entrant dans l’immense lobby, c’est un peu comme si nous entrions dans un film d’une autre époque. Tous les cinq sommes sidérés par tant de beautés ! J’ai l’impression de flotter au milieu des belles choses qui nous entourent. Tout près de nous, un orchestre joue une jolie musique classique, des centaines d’orchidées fraîches ornent les lieux, les meubles, les lustres, la décoration, tout est raffiné… Et ce n’est que le début ! DSCN8155IMG_4004La dernière fois que nous sommes venus ici, Théophile devait avoir environ 5 ans. En s’installant à table, il me dit qu’il a des souvenirs précis de la terrasse et du fleuve, et pourtant ça date d’il y a 9 ans ! C’est notre ami Bruno qui nous a fait découvrir ce lieu magique. Nous nous dirigeons vers la terrasse extérieure qui donne directement sur le fleuve Chao Phraya. La nuit commence à tomber et tout est illuminé. C’est un rêve ! Les bateaux ont entamé leur danse folle sur le fleuve et se croisent dans les flots. C’est tellement beau que je voudrais que l’instant dure toujours.

IMG_4030IMG_4021 IMG_4022 IMG_4027IMG_4032 IMG_4036 IMG_4042 IMG_4056DSCN8163DSCN8158Après un repas délicieux, nous nous levons sans grand enthousiasme, mais il faut bien rentrer… Martine m’assure qu’on reviendra avant qu’ils ne repartent en Provence. Thierry et moi sommes heureux, car nous pensons sincèrement qu’ils n’oublieront jamais cette soirée. Nous traversons la terrasse jusque l’embarcadère de l’hôtel… Un bateau va nous conduire jusqu’à la station de métro Saphan Taksin. Tout est parfait jusqu’au bout ! IMG_4058 IMG_4062 IMG_4066 IMG_4070 IMG_4076Cet hôtel de légende, inauguré en 1879, s’est forgé une renommée internationale au fil des siècles. Des auteurs illustres, tels que Joseph Conrad ou Somerset Maugham, y avaient leurs habitudes. Certains d’entre eux ont même puisé leur inspiration au Mandarin. Je veux bien le croire, cet endroit est tellement fabuleux !

Lors de notre séjour à New Bagan, nous avons eu l’occasion de tester plusieurs restaurants. Et la plupart d’entre eux ne nous ont pas du tout convaincus. En revanche, nous avons eu un coup de cœur pour la cuisine du Star Beam Restaurant. J’ai aimé (entres autres) le curry rouge/jaune aux légumes, mais aussi l’accueil, l’endroit, les sourires et la petite boule de pain chaud offerte. Un délice ! Si vous passez à Bagan, je vous le recommande chaleureusement. DSCN7607 DSCN7611 DSCN7615 DSCN7709 DSCN7711

Star Beam Restaurant – Mr Myo Myint
Near new Bagan Market
Behind NLD Party Office
New Bagan
Phone : 09-401523810 ou 09-259073071
Email : rkmyomyint@gmail.com

Myo propose aussi ses services de guide/taxi et possède sa propre voiture. Il parle en plus un très bon anglais et connaît plein de choses sur l’histoire de Bagan. Myo est quelqu’un de très courtois et délicat qui sait s’adapter en fonction des goûts de chacun. Nous ne regrettons pas de l’avoir choisi comme guide, c’était vraiment parfait ! De vous à moi, vous pouvez y aller les yeux fermés ! Myo est une belle personne. Pour le contacter, il suffit de l’appeler aux numéros ci-dessus ou de lui envoyer un email, ou encore mieux de le rencontrer directement à son restaurant.

La restauration est une affaire de famille !

Son frère aîné, Tin Myint, possède aussi un restaurant du même nom (Star Beam Bistro) qui se trouve à Old Bagan, près de l’Ananda Temple. Nous y sommes allés déjeuner et c’est une cuisine très proche de celle du restaurant de Myo. On vous servira aussi un petit pain chaud. DSCN7618

Voici une autre adresse qui, pour nous, mérite le détour. Il s’agit du Pho Cho Restaurant à New Bagan. Ils proposent une cuisine thaïe assez raffinée par rapport à d’autres restaurants qui s’improvisent un peu.

Pho Cho Restaurant
Entertainment Puppet Show
Near Bagan House LacquerWare Shop
New Bagan
Phone : 09-402780231 ou 09-256227834

Ce matin, à 9h30, nous recevons un petit email de Nolwenn, Chanelle et Gilles : « Nous sommes à Kata Noi, où êtes-vous ? » (Rappel : Nous les avons rencontrés à Georges Town : AU REVOIR PENANG, BONJOUR PHUKET !) Nous n’étions pas très sûrs qu’ils viendraient à Phuket, mais ce qui est extraordinaire c’est que nous soyons aussi peu éloignés ! En effet, Kata Noi Beach est séparée de la plus grande plage, Kata Beach, par un petit flanc de colline. Thierry les appelle dans la matinée, car ce serait dommage que nous nous manquions. En effet, demain, nous quittons Phuket sud pour aller 150 km au nord dans la région de Khao Lak. Nous avons réservé hier un appartement de 55m2 avec deux chambres à Bang Lut. La Guesthouse qui gère les appartements s’appelle LIVING ROOM, et il semblerait que les gérants soient un couple suédois/thaïlandais. Par contre, nous ne savons pas encore si nous allons louer une voiture ou prendre un taxi. (Thierry et moi sommes les pros de l’improvisation.)
CaptureAu téléphone, Gilles et Thierry se mettent d’accord pour un rendez-vous, après les heures de plage, à leur hôtel. Théophile marmonne qu’il n’a pas envie de sortir, que ses copains sont connectés le soir et qu’il va les manquer. Tant pis, nous sortirons sans lui, mais déçus quand même.

En soirée, nous attrapons un taxi qui nous dépose quelques minutes plus tard dans la cour de leur hôtel. Ils sont là et nous accueillent chaleureusement. Nous sommes tous très contents de nous revoir ! Nous finissons la soirée dans un restaurant proposant une bonne cuisine thaïe, avant de nous séparer une nouvelle fois. Qui sait, peut-être nous verrons-nous prochainement dans la région de Khao Lak ? Cette belle petite famille a prévu de voyager 5 mois en Asie, et Chanelle suit ses cours avec le CNED comme Théophile…

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Hier, j’ai lu qu’il existait une plage préservée à Phuket : la Rawaï Beach. Thierry et moi avons envie de la découvrir avant de décider si, oui ou non, nous allons prolonger notre séjour sur l’île. C’est en scooter que nous choisissons de sillonner ses collines vallonnées à la recherche de la perle rare.rawaiDSCN6807Lorsque nous arrivons face à la plage de Rawaï, ma première impression est d’abord positive : eau émeraude, calme, bateaux longtail, jolie vue sur les îles… Tous les ingrédients sont là pour passer un moment de détente. La bande de sable est par contre très étroite, et quelques déchets y sont éparpillés. Pour être honnête, nous avons un peu de mal à nous projeter ici…  Le charme n’opère pas. Nous restons quelques minutes à contempler les bateaux en bois, puis regagnons le scooter pour continuer un peu la balade.

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Sur la route du retour, nous faisons une halte à « Karon View Point », la célèbre colline connue des touristes qui profitent comme nous de la vue magnifique sur les plages de Kata Noi, de Kata et de Karon…DSCN6814DSCN6820Le soleil est au zenith, nous avons hâte de rentrer au frais. Nous passons devant un bar avec un toit en chaume, l’After Beach Bar, et décidons d’y faire une pause rafraîchissante. Une fois sur place, l’accueil est inexistant, et l’ambiance faussement décontractée avec son style reggae ne nous emballe pas plus que ça. Nous y prendrons juste un verre, d’autant plus que le serveur nous foudroie du regard. (Manifestement, cette personne s’est trompée de métier.) Heureux lot de consolation… la vue qu’offre la terrasse du bar est imprenable : le panorama sur la plage de Kata Noi est très beau. DSCN6823

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Voici mes trois adresses coup de coeur à Kep.

La première est tout simplement celle où nous avons séjourné une semaine, le Tara Lodge. Le lieu est idyllique pour tous ceux qui souhaitent se relaxer dans un beau jardin planté au bord d’une grande et belle piscine (qui fait aussi jacuzzi !). A deux pas du Parc National et à quelques minutes du Crab market et de ses restaurants, la guesthouse jouit d’un superbe emplacement. Les chambres sont spacieuses, bien ventilées et décorées avec goût, et les terrasses possèdent toutes un joli salon d’où l’on peut assister au coucher du soleil ! C’est notre plus belle adresse d’hôtel depuis trois mois que nous voyageons. Au Tara Lodge, on se sent un peu comme à la maison ! Merci à Karine, Christophe – et le très sympathique personnel – pour votre accueil chaleureux !

Adresse : TARA LODGE, Thmey Village, Prey Thom Commune, Kep Province, Kingdom of Cambodia
tel Karine: 097 623 6167   –   Christophe: 088 403 7431
Pour les contacter de l’étranger, composer l’indicatif du Cambodge 00855 (00855 97 623 6167 et 00855 88 403 7431)
Email : tara.kep@outlook.fr
Site : http://www.taralodge-kep.com
Aéroport de phnom Penh : 178 km
Sihanoukville : 122 km
Kampot : 17 km
Frontière du Vietnam : 30 km

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Le magnifique roi Jayavarman VII veille sur les baigneurs…

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Vue sur le restaurant à l’étage et le bar de la piscine

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Un salon près de la piscine où il est bon de prendre un verre

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La terrasse du 202 où nous avons pris des magnifiques clichés du ciel en feu

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Coucher de soleil pris de la terrasse du 202

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Thierry dans le parc national de Kep

La deuxième adresse coup de coeur se situe juste à côté du Tara Lodge. Nous allions y prendre nos déjeuners tardifs (vers 15h). Il s’agit du Khmer Hands Bungalows tenu par une famille adorable. Kris, d’origine américaine, est un passionné qui parle magnifiquement de ses projets dont son projet de formation pour les personnes sans qualification. Le Khmer Hands prend en charge un petit centre de formation où de jeunes locaux reçoivent une formation pour obtenir des compétences professionnelles indispensables pour obtenir un emploi stable. Pour en savoir plus, cliquez sur keylightlearning.org (Thierry et moi sommes très admiratifs !) La femme de Kris, Naome, est une excellente cuisinière – on a adoré le poulet au gingembre – et l’ambiance du restaurant donne une impression de bout du monde qui fait du bien à l’esprit. D’après ce que j’ai vu sur les sites de réservation en ligne, les huttes traditionnelles ont l’air magnifiques.

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La troisième adresse coup de coeur est celle d’un restaurant ouvert sur la mer – le Knai Bang Chatt. La terrasse du restaurant donne directement sur l’océan, et la cuisine est divine. Une petite plage y a été aménagée, et c’est un plaisir d’y prendre un verre les pieds dans le sable devant le coucher du soleil. Je ne connais pas l’hôtel (de luxe) mais, par contre, Thierry et Théophile ont fait du bateau en passant par leur sailing club. Pour plus de détails, cliquez sur Knai Bang Chatt.
Adresse : Phum Thmey, Sangkat Prey Thom, Kep City, Kep Province Kingdom of Cambodia.
Email: reservations@knaibangchatt.com
The Strand Restaurant (855) 78 333 686
Sailing Club Activity Center (855) 78 333 685
The Spa at Knai Bang Chatt (855) 78 888 556

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Vue de la terrasse

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La terrasse du restau

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Les pieds dans le sable

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J’aime cette photo – détail de la terrasse

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Le ponton de jour

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Le ponton au coucher du soleil

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Ponton de nuit

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Please no comment. J’ai parfois l’air bizarre…

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Un Martin Triste – Acridotheres tristis Common Myna

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Notre refuge sur la plage

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Un dessert pour les gourmets

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Théophile fait son cinéma.

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Théophile, un ado complètement déluré, non ? 

Tous les trois aimons beaucoup le quartier intra-muros situé au sud-ouest de Chiang Mai. Plus vert, plus calme, plus résidentiel, plus… je ne sais quoi encore ? C’est la deuxième fois que nous mangeons au Ease Café, un endroit charmant posé au milieu d’un petit jardin verdoyant où sont installés des tables en bois, des bancs, une balançoire… Nous l’avons découvert par hasard en allant au parc Suan Buak Hat. (Sur la carte, le parc correspond au tout petit morceau vert en bas à gauche.)ease caféNous profitons de nos derniers jours à Chiang Mai. Dans quelques jours, nous quitterons la cité pour Soppong, un petit village à 175 km au nord. Un peu de verdure va nous faire le plus grand bien, car bien que la ville soit agréable, nous sommes en permanence au milieu de la circulation intense, du mouvement, des boutiques, des restos et des bars parfois très bruyants…Soppong

Mais revenons au Ease Café, non seulement l’atmosphère est très relaxante, mais en plus les cafés glacés y sont délicieux (tout comme sa cuisine d’ailleurs !). Ce petit havre de paix est facilement accessible en tuk tuk. Ici, on se sent comme chez soi… Des étudiants viennent même y potasser leurs cours… La musique est jazzy, la déco chaleureuse et, derrière les vitres de la véranda, on se surprend à paresser et même à somnoler. Relax. Zen. Détente absolue.

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Tout près d’ici, il existe un petit écrin de verdure où il est bon de se reposer. Le parc Suan Buak Hat est très bien entretenu et, curieusement, il y a très peu de touristes. On y voit plutôt des thaïs qui pique-niquent en famille. Cela me rappelle un peu le parc des Buttes Chaumont à Paris, avec son petit lac et ses pigeons… Le jardin est planté et offre une ombre bienvenue à tous ceux qui souhaitent profiter de ce lieu agréable. On peut s’y détendre et profiter du calme des lieux. Ses pelouses vertes sont luxuriantes, et des enfants courent partout. Des tapis en feuilles de bananier tressées se louent à l’heure et permettent de faire une petite sieste sous les cocotiers.

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