Les paronymes sont des mots qui se ressemblent tant par leur forme, leur orthographe ou leur prononciation. Mais comme leurs sens diffèrent, ils sont souvent sources de confusions. Ce test permet de vous en faire connaître quelques-uns… et d’accroître vos connaissances en vocabulaire.
Apprenez à prononcer correctement le français avec des exercices de phonétique !
Extrait de « DES HEURES ENTIÈRES AVANT L’EXIL » (2004) – Frédéric Sonntag
Merci, merci beaucoup, merci, je … je suis très touchée, pffouh !
Merci, merci beaucoup, merci, je… je suis très touchée, pffouh ! c’est… je ne sais pas quoi dire, je n’ai rien préparé, je ne m’y attendais pas du tout… je suis très◡émue, excusez-moi, c’est… c’est très◡impressionnant de se retrouver ici, d’être là devant vous, c’est beaucoup plus◡impressionnant que ce que j’imaginais, c’est… excusez-moi, je, je suis vraiment très◡émue, c’est… pffouh ! ça fait beaucoup d’un seul coup… je ne sais plus ce que je dois dire, je… donc, je, pffouh !… voilà, je reprends mes◡esprits, je… je voulais tout d’abord vous remercier, vous tous, pour ce très grand bonheur et ce très grand◡honneur que vous me faites, je suis vraiment très touchée, vraiment… je tenais également à remercier tous ceux avec lesquels je souhaite partager cette distinction, c’est-à-dire toute l’équipe du film, tous mes partenaires de jeu mais◡aussi toute l’équipe technique, vraiment merci à vous tous de votre soutien, de votre gentillesse et de votre◡amour, merci pour tout, merci, je vous◡aime tous, vraiment, je vous◡adore… Je voudrais aussi remercier, heu… je voudrais remercier ma bonne◡étoile et mon◡ange gardien — je me suis si souvent demandé ce qu’ils foutaient ces deux-là, que je voudrais me faire pardonner auprès d’eux, pardon les gars, désolée d’avoir douté de vous. Je voudrais également remercier, heu… je ne sais pas, heu… j’ai envie de, de remercier tout le monde, de, de remercier la terre◡entière, de… j’ai envie de remercier, de remercier le monde, l’amour… et Dieu… et… et le cinéma, de, de remercier la vie, parce que, je crois, le cinéma, c’est la vie et la vie, c’est… c’est le cinéma… voilà, je, je voudrais remercier la vie, et, heu… et le rêve◡aussi, parce que, je crois, sans le rêve, on n’est rien, je veux dire, sans le rêve, y a pas de vie, heu… Et, pour finir, je voudrais remercier ceux-là — mes◡amis, mes parents, mes frères — sans lesquels je ne serais pas là ; je voudrais remercier en particulier mon◡amoureux, sans lequel rien ne serait possible, sans lequel rien ne serait probable.
Longtemps cette◡habitude (c’était un pli — était-il mauvais était-il bon —, c’était un pli que j’avais pris), longtemps cette◡habitude prise d’imaginer, lors de certains trajets — certaines◡errances, flâneries, échappées dans la ville —, cette◡habitude prise d’imaginer le discours que je ferais si je recevais le prix de la meilleure◡actrice lors d’une cérémonie de récompenses des métiers du cinéma, d’imaginer ma réaction si l’on me remettait l’oscar de la meilleure◡actrice par◡exemple, le discours de remerciement que je ferais. Une◡habitude prise, allez savoir pourquoi, un réflexe idiot impossible à réprimer. Chaque fois qu’il m’arrivait, marchant dans la rue, de penser à ce genre de cérémonie, je ne pouvais m’empêcher d’imaginer un nouveau discours de remerciement, en fonction de mon◡humeur du moment. Il fallait me voir, alors, m’emporter sur les◡avenues, sur les boulevards, en plein cœur de la métropole, me laisser emporter par mon flot de parole (intarissable source), il fallait me voir faire◡abstraction de l’espace et du temps — abstraction bientôt qui gagnait mon corps —, faire le jeu de mon discours et me laisser dépasser par l’ivresse et le trac ; et le décor autour déjà s’évanouissait (toujours je m’emportais, toujours j’en◡oubliais la rue, ces feux multicolores, ces panneaux d’interdictions notoires, ces signalisations tristes, ces fantômes et ces créatures ; j’en◡oubliais jusqu’aux raisons mêmes de mon déplacement, jusqu’à ma destination, j’en◡oubliais jusqu’à mon destin — qui n’était en rien celui d’une star de cinéma, et qui en prenait de moins◡en moins la direction, j’oubliais tout ; au plein cœur de la métropole, j’étais ailleurs), j’étais seule devant un parterre de stars hollywoodiennes et je remerciais le monde de m’avoir fait◡ainsi, de m’avoir◡élevée jusqu’à ce rang d’étoile ; moi, je faisais mon discours et plus rien ne comptait ; je remerciais le monde, il fallait bien, une récompense pareille, cet◡honneur qu’on me faisait, la reine que je devenais, on me célébrait ! Il fallait me voir. Je pleurais presque. Parfois je pleurais. De joie et de douleur et de joie. Je pleurais sur le trottoir argenté d’une métropole du monde occidental. Et dans◡un dernier sanglot, dans◡un dernier soupir, je remerciais Dieu, mes◡amours, et le monde ; je remerciais la métropole infinie, et je prenais la fuite◡en courant.
Comme leur graphie est presque la même, le risque est grand de les confondre. Un petit point pour éclairer votre lanterne !
Entendez-vous la différence ?
Veuillez [vɶje] / Veillez [veje]
« Veuillez » [vɶje] est la forme de l’impératif du verbe « vouloir » [vulwar] à la deuxième personne du pluriel (vous). Il est toujours suivi d’un verbe à l’infinitif. On le trouve dans beaucoup de formules de politesse et on l’emploie pour demander poliment quelque chose ou donner un ordre.
Veuillez…
Apprenez à prononcer correctement le français avec des exercices de phonétique !
– Veuillez agréer, Messieurs, l’expression
de mes sentiments distingués.
– Veuillez patienter quelques◡instants…
– Veuillez excuser mon retard. (Je vous prie
de bien vouloir excuser mon retard.)
« Veillez » [veje] est la forme de l’impératif du verbe « veiller » [veje]. On l’utilise pour exprimer qu’on reste près d’une personne pour s’en occuper. Suivi de la préposition à, « veillez à » devient synonyme de « faire attention à ». Lorsqu’il est suivi de « sur », « veillez sur » signifie « prendre soin de, s’occuper de ».
Veillez…
– Veillez votre◡épouse qui est très malade.
– Veillez à ce que tout soit rangé à mon◡arrivée.
– Veillez à ce que tout se déroule parfaitement bien pendant la cérémonie.
– Veillez à ce que votre bébé ne tombe pas de son lit.
– Veillez sur votre◡enfant. (= surveiller votre enfant)
Veiller signifie aussi « rester éveillé la nuit ».
Il◡y◡a [ilja] / Il◡y◡a eu [ilja y] / Il◡y◡en◡a [iljɑ̃nɑ] / Il◡y en◡a un [iljɑ̃nɑ œ̃] / Il◡y en◡a eu un [iljɑ̃nɑ y œ̃] Qu’y a-t-il ? [kjɑ til / ki jɑ til] Il◡y◡a quelqu’un ? [ilja kεlkœ̃] Y a-t-il quelqu’un ? [jatil kεlkœ̃]
Les liaisons avec en-an / un / on
En en vendant un et en en achetant un…
En◡en◡vendant un et en◡en◡achetant un, on◡est contents ! En◡un◡an / En◡un◡an, on◡en◡a eu. En◡un◡an, on◡en◡a eu un. Un◡instant / En◡un◡instant / En◡un court◡instant De la chance, on◡en◡a, on n’en◡a pas. Pourquoi en◡a-t-on ?On◡en◡a parlé lundi. On n’en◡a jamais parlé. En◡a-t-on parlé lundi ? N’en◡a-t-on jamais parlé ? On◡en◡a un. On◡en◡a encore◡un◡autre. En◡a-t-on un ? En◡a-t-on encore un◡autre ?
On en apprend tous les jours…
On◡en◡apprend tous les jours. En◡apprend-on tous les jours ? On◡en◡a mis un de côté. En◡a-t-on mis un de côté ? On◡n’en◡entend jamais parler. N’en◡entend-on jamais parler ? On◡en◡entend de temps◡en temps. En◡entend-on de temps en temps ? Sitôt qu’on◡en◡ôte un, on marche plein d’entrain. En◡en◡ôtant un, on marche plein d’entrain.
L’enchaînement est un phénomène qui consiste à resyllaber le son consonantique final d’un mot avec le son vocalique initial du mot qui le suit. (Source Wikipédia)
Exemple :
Énoncé : « Il appelle un taxi. »
Chaîne de phonèmes : /ilapɛlœ̃taksi/
Transcription phonétique sans enchaînement (les points indiquent les frontières syllabiques) : [il.a.pɛl.œ̃.tak.si]
Transcription phonétique avec enchaînement : [i.la.pɛ.lœ̃.tak.si]
L’énoncé ci-dessus comporte deux enchaînements :
entre les sons [l] et [a] avec apparition d’une syllabe [la] ;
entre les sons [l] et [œ̃] avec apparition d’une syllabe [lœ̃].
Le bouche à bouche est un geste …
Entraînez-vous ! Voici quelques phrases avec liaison ou/et enchaînement. C’est◡à vous de jouer !
[lə.bu.ʃa.buʃ#e.tœ̃.ʒεst.ki.ne.pa.sε̃.pla.re.a.li.ze] Le bouche-à-bouche est◡un geste qui n’est pas simple◡à réaliser.
[sə.tu.ʒɶ.nɔm#e.de.ʒa.œ̃.ve.ri.tabl.bu.tɑ̃.trε̃] Ce tout jeune◡homme est déjà un véritable boute-en-train.
[i.lja.ply.zjɶr.pwε̃.dvy.e.tus.sɔ̃.tε̃.te.re.sɑ̃] Il◡y a plusieurs points de vue, et tous sont◡intéressants !
[ʒə.pɑ̃s.kɔ̃.na.tu.tε̃.te.rε.a.ja.le.tu.sɑ̃.sɑ̃.bl] Je pense qu’on◡atout◡intérêt à y◡allertous◡ensemble.
[se.tyn.mε.zɔ̃.a.vε.kœ̃.ʒar.dε̃.tu.tɑ̃.lɔ̃.gɶr] C’est◡une maison avec◡un jardin tout◡en longueur.
[i.la.a.nɔ̃.se.la.nu.vεl.də.by.tɑ̃.blɑ̃.ɑ̃.fik.sɑ̃.syr.nu.œ̃.rə.gar.lur.də.su.zɑ̃.tɑ̃.dy] Il◡a annoncé la nouvelle de but◡en blancen fixant sur nous un regard lourd de sous-entendus.
[pɑ̃.dɑ̃.vε̃t.ka.trɶr.la.vil.tu.tɑ̃.tjεr#a.e.te.plɔ̃.ʒe.dɑ̃l.nwar] Pendant vingt-quatre◡heures, la ville tout◡entière a été plongée dans le noir.
[sε.ta.vɔ.ka.i.le.tu.so.fœ̃.ʒe.ni] Cet◡avocat, il◡est tout sauf◡un génie.
[sε.vjεj.pεr.sɔn#sɔ̃.tɑ̃ .su.za.li.mɑ̃.ta.sjɔ̃] Ces vieilles personnes sont◡en sous-alimentation.
[vjε̃#ɔ̃.mɑ̃ʒ.ra.tu.tɑ̃.mar.ʃɑ̃] Viens, on mangeratout◡en marchant.
[kɑ̃.to.p(ə)ti.nu.le.zɑ̃.mεn.rɔ̃.o.zo(o)] Quant◡aux petits,nous les◡emmènerons au zoo.
[rɛ.ve.ty.pø.lfɛ.ra.tu.taʒ.a.tu.tœr.dy.ʒu.re.dla.nɥi] Rêver, tu peux le faire◡à tout◡âge, à toute◡heure du jour◡et de la nuit.
[sε.dø.la.se.lə.ju.re.la.nɥi] Ces deux-là, c’est le jour◡et la nuit.
[lə.bu.ʃa.o.rεj.fɔ̃k.sjɔn.bjε̃.dɑ̃.tu.le.miljø.prɔ.fε.sjɔ.nεl] Le bouche◡à oreille fonctionne bien dans tous les milieux professionnels.
[a.vɑ̃.tjεr.syr.le.ʃɑ̃.ze.li.ze.ʒe.vu.sε.tɔm.də.me.prɔ.prə.zjø] Avant-hier, sur les Champs-Elysées, j’ai vu cet◡homme de mes propres◡yeux.
[kɔ.mɑ̃.ta.le.vu.də.mjø.zɑ̃.mjø.ʒεs.pεr] Comment◡allez-vous ? De mieux◡en mieux, j’espère ?
[ma.lɶ.røz.mɑ̃.də.mwε̃.zɑ̃.mwε̃.bjε̃.ʒə.sɥi.də.ply.zɑ̃.ply.zε̃kjε] Malheureusement, de moins◡en moins bien. Je suis de plus◡en plus◡inquiet !
[pti.tap.ti,lwazo.fε.sɔ̃.ni] Petit◡à◡petit, l’oiseau fait son nid.
[tu.ta.ku.il.sə.rəgard.sɑ̃.zœ̃.mo.də.’o.tɑ̃.ba.pɥi.le.zjø.dɑ̃.le.zjø] Tout◡à coup, ils se regardent sans◡un mot, de haut◡en bas, puis les◡yeux dans les◡yeux.
[ʃyt.pa.zœ̃.mo.a.kik.sə.swa] Chut ! Pas◡un mot à qui que ce soit !
Les consonnes finales peuvent passer dans la syllabe qui suit. On parle alors d’enchaînement ou de liaison.
Ce soir, vous◡irez boire◡un verre◡ensemble. [sə-swar-vu-zi-re-bwa-rœ̃-vε-rɑ̃-sɑ̃bl]
L’enchaînement est le passage, dans la première syllabe du mot suivant, d’une consonne finale toujours prononcée.
Avec (on
prononce le -c) Avec◡elle
/ Avec◡eux
Pour (on
prononce le -r) Pour◡elle
/ Pour◡eux
La liaison est le passage, dans la première syllabe du mot suivant, d’une consonne muette, donc jamais prononcée.
Sans (on ne prononce pas le -s) Sans◡elle / Sans◡eux Moins (on ne prononce pas le -s) De moins◡en moins Chez (on ne prononce pas le -z) Chez◡elle / Chez◡eux Mais (on ne prononce pas le -s) Mais◡il se mit◡à rire.
Une même phrase peut être prononcée avec ou sans liaison (dans un français plus familier). Elle peut◡y aller à pied/ Elle peut y aller à pied. Mes parents sont◡arrivés hier. / Mes parents sont arrivés hier.
Les consonnes de liaison les plus fréquentes
La liaison en -z concerne les lettres s, x et z : Vous◡avez de la chance.J’ai dix◡ans.Retournez-y dès que possible. L’enchainement se fera en -s avec les consonnes s, x : C’est◡une grosse◡araignée. Nous sommes six◡à table.
La liaison en -t concerne les lettres
t et d : Petit◡à
petit. Il est huit◡heures.
C’est un grand◡espace.
Un pied-à-terre. L’enchainement se fera en -d avec la
consonne d : Une grande◡amitié.
Les liaisons sont
obligatoires, interdites ou facultatives.
Les liaisons sont obligatoires dans les cas suivants :
Pronom sujet + verbe (Nous◡irons, vous◡êtes, elle◡arrive…) Verbe + pronom sujet (Entend-on ? Sait-elle ? Connaît-il ?) Complément + verbe (On◡en◡a assez…) Complément + pronom (Je vous◡en prie, tu nous◡en◡offriras, je vous◡y conduis…) Déterminant + nom (Son◡animal, un◡effort, nos◡envies, quelques◡idées, ton◡instinct…) Adjectif + nom (De gros◡ennuis, un grand◡arbre, un petit◡enfant…) Adverbe monosyllabique + adjectif (Très◡utile, plus◡avancé, moins◡élancé, mieux◡informé, bien◡arrivé, trop◡évasif…) Préposition monosyllabique + groupe nominal (Dans◡une seconde, chez◡un voisin, sous◡un dossier, avec◡une◡amie…) Quand + pronom sujet (Quand◡on◡aime, quand◡il chante, quand◡elle danse…) Dont + pronom sujet ( ce dont◡on parle, dont◡ il faut…)
Les liaisons sont interdites dans les cas suivants :
Après « Et » (Et#ils répètent en chœur) Mot interrogatif + verbe (Quand#arrive-t-elle ? Comment#as-tu fait ? Combien#en as-tu ?) Exceptions : Comment◡allez-vous, quand ◡est-ce que …) Devant un -h aspiré (Les#héros, un#hibou, en#haut, le#Honduras, un#Hongrois…) Déterminant + huit, onze (Les#huit assiettes, les#onze joueurs…) Nom au singulier + adjectif (un◡animal#agressif, une maison#accueillante…) Exception : un◡accent◡aigu Prénom ou groupe nominal sujet + verbe (Louis#a ri, le train#arrive, ma grande sœur#est◡arrivée…) Pronom non monosyllabique + verbe (Certains#ont cru, plusieurs#aiment, quelqu’un#a…) Verbe et sujet inversé + groupe verbal (Peut-on#interdire, sais-tu#écrire, vont-elles#accepter…)
Les liaisons autorisées, facultatives
Nom au pluriel + adjectif (Les livres illustrés, certains regards amusés, des yeux écartés, des figures étonnées…) Verbe + verbe (Elle◡est arrivée, il◡est entré, il◡était une fois, nous◡allions oublier…) Verbe + complément / adverbe (il◡est encore en retard, elle sourit aux clients, elles dorment encore…) Après Mais (Mais il continue, mais on préfère…) Après un adverbe non monosyllabique (assez abordable, extrêmement important, entièrement aménageable…) Après une préposition non monosyllabique (depuis un siècle, avant un orage, depuis un an, devant elle, durant une année, pendant une◡heure…) Après pas/plus/rien (Rien à faire, pas assez, plus ou moins…)
Écoutez la différence entre enchaînement et la liaison
Les◡ enfants dorment encore / Les◡ enfants dorment◡encore Ils rêvent ensemble / Ils rêvent◡ensemble
Mais on dira : – Une lourde◡amende [yn.lur.da.mɑ̃d] – Sourde◡et muette [sur.de.mɥεt]
Vers elle, cours avec lui…
-RS – Vers◡elle [vε.rεl] – Cours◡avec lui. [ku.ra.vεk.lɥi] – Pars◡avec◡elle. [pa.ra.vε.kεl] – A travers◡une fenêtre [a.tra.vε.ryn.fə.nεtr] – Toujours◡est-il que… [tu.ʒu.rε.til.kə] – Il◡est toujours◡à se plaindre. [il.ε.tu.ʒu.ra.sə.plε̃dr] – Je suis toujours◡en retard. [ʒə.sɥi.tu.ʒu.rɑ̃.rə.tar] – Nous trouverons toujours◡un moyen. [nu.truv.rɔ̃.tu.ʒu.rœ̃.mwa.jε̃] – Il fait toujours◡aussi froid ! [il.fε.tu.ʒu.ro.si.frwa] – Je peux toujours◡en◡avoir besoin. [ʒə.pø.tu.ʒu.rɑ̃.na.vwar.bə.zwε̃] – Tu peux toujours◡essayer. [ty.pø.tu.ʒu.re.se.je] – Ils n’ont pas◡été toujours◡aussi gentils. [il.nɔ̃.pa.ze.te.tu.ʒu.ro.si.ʒɑ̃.ti] – Envers◡et contre tous ! [ɑ̃.vε.re.kɔ̃.trə.tus] – Envers◡eux / elles[ɑ̃.vε.rø/εl] – Cinq◡heures◡et demie [sε̃.kœ.re.dmi]
Mais on dira : – Le Tiers–Etat [tjεr.ze.ta]
Vert amande, vert anis…
-RT – Vert◡amande [vε.ra.mɑ̃d] / Vert◡anis [vε.ra.ni] – À part◡entière[a.pa.rɑ̃.tjεr] – Prendre part◡à quelque chose [prɑ̃.drə.pa.ra.kεl.kə.ʃoz] – De part◡en part [də.pa.rɑ̃.par] – Un court◡instant [œ̃.ku.rε̃s.tɑ̃] – Ouvert◡ou fermé ? [u.vε.ru.fεr.me] – On part◡avec◡eux. [ɔ̃.pa.ra.vε.kø] – Mort◡en direct [mɔ.rɑ̃.di.rεkt] – Elle sort◡avec ses◡amis. [εl.sɔ.ra.vεk.se.za.mi] – Donner tort◡à quelqu’un. [dɔ.ne.tɔ.ra.kεl.kœ̃] – À tort◡ou à raison [a.tɔ.ru.a.rε.zɔ̃] – À tort◡et à travers[a.tɔ.re.a.tra.vεr]
Mais on dira : – Une courte◡expérience [yn.kur.tεks.pe.rjɑ̃s] – Une courte◡attente [yn.kur.ta.tɑ̃t] – Sort-elle souvent ? [sɔr.tεl.suvɑ̃] – Part-il tôt le matin ? [par.til.to.lə.ma.tε̃] – Court-on vite◡ou lentement ? [kur.tɔ̃.vi.tu.lɑ̃t.mɑ̃] – Un arc-en-ciel [œ̃.nar.kɑ̃.sjεl] – Un porc-épic [œ̃.pɔr.ke.pik] (pluriel porcs-épics) – De part◡et d’autre [də.par.te.dotr]